Éthiopie
Par Olivier Morice le mercredi 1 février 2017, 20:58 - Général - Lien permanent
Je suis parti en Éthiopie au cours de ce mois de janvier 2017
ce qui m'a permis d'échapper partiellement à la froidure hivernale...
L'Éthiopie est un très beau pays, culturellement très riche, c'est en outre un pays profondément chrétien (depuis le 4e siècle, donc avant la France !) qui a pour l'instant su résister à la pression pas franchement amicale de ses voisins musulmans...
Bien évidemment, partir en Éthiopie aujourd'hui c'est accepter une grosse frustration : il faut une croix sur le Danakil et l'Erta Ale (interdits par le ministère français des Affaires étrangères depuis quelques années déjà). Les voyagistes sur place ne comprennent d'ailleurs pas cet interdit (il paraît que l'armée a sécurisé la zone et que plein de Japonais y vont) mais c'est comme ça.
Donc on oubliera le fabuleux lac de lave ainsi que les déserts ultra-minéraux... pour se concentrer sur la patrimoine (les églises monolithiques de Lalibela et les obélisques d'Axoum), les paysages magnifiques (le Guéralta qui rappelle l'ouest américain, et le spectaculaire massif du Simien culminant à plus de 4000 m) ; la rencontre avec des populations ayant encore peu de contacts avec les touristes ; sans oublier les animaux sauvages, certes pas de grande faune africaine, mais pléthore des singes, des bouquetins d'Abyssinie, et même des loups.
Et puis, en Éthiopie en janvier il fait très beau : pas un nuage en deux semaines, y compris en haute altitude !
Je profite de ce billet (selon mon habitude) pour vous présenter quelques photos en avant-première (puisque je rédige ce site avec en moyenne quatre voyages de retard, soit trois ou quatre ans).
L'Éthiopie est un très beau pays, culturellement très riche, c'est en outre un pays profondément chrétien (depuis le 4e siècle, donc avant la France !) qui a pour l'instant su résister à la pression pas franchement amicale de ses voisins musulmans...
Bien évidemment, partir en Éthiopie aujourd'hui c'est accepter une grosse frustration : il faut une croix sur le Danakil et l'Erta Ale (interdits par le ministère français des Affaires étrangères depuis quelques années déjà). Les voyagistes sur place ne comprennent d'ailleurs pas cet interdit (il paraît que l'armée a sécurisé la zone et que plein de Japonais y vont) mais c'est comme ça.
Donc on oubliera le fabuleux lac de lave ainsi que les déserts ultra-minéraux... pour se concentrer sur la patrimoine (les églises monolithiques de Lalibela et les obélisques d'Axoum), les paysages magnifiques (le Guéralta qui rappelle l'ouest américain, et le spectaculaire massif du Simien culminant à plus de 4000 m) ; la rencontre avec des populations ayant encore peu de contacts avec les touristes ; sans oublier les animaux sauvages, certes pas de grande faune africaine, mais pléthore des singes, des bouquetins d'Abyssinie, et même des loups.
Et puis, en Éthiopie en janvier il fait très beau : pas un nuage en deux semaines, y compris en haute altitude !
Je profite de ce billet (selon mon habitude) pour vous présenter quelques photos en avant-première (puisque je rédige ce site avec en moyenne quatre voyages de retard, soit trois ou quatre ans).