Récits et photos de voyages

Mode d’emploi de ce site

Ce site présente un grand nombre de voyages effectués ces dernières années. Ces voyages sont séparés en deux catégories :

  • des voyages familiaux effectués dans ma jeunesse, qui sont présentés uniquement sur la partie à accès restreint du site ;
  • des voyages organisés effectués ces dernières années, et qui sont accessibles depuis l’ensemble du site.

Les vacances de jeunesse sont regroupées par années, chaque grand voyage estival étant scindé en plusieurs morceaux (pages HTML différentes) selon les pays ou les régions traversés. Pour les voyages récents, il y a une page HTML par voyage. À chaque voyage est associé une ou plusieurs cartes permettant de visualiser l’itinéraire (voir la page spécifique décrivant les cartes). Pour les voyages de jeunesse, on peut également lire en ligne et au format PDF, le cahier (journal de vacances) que j’avais rédigé à l’époque.

La présentation du site et les liens

Ce site avait initialement été construit avec des frames (cadres), mais ce n’était plus très tendance. Cette version a donc été réécrite en utilisant des standards plus modernes (PHP, Mysql...). Le menu sur la gauche permet ainsi d’accéder directement à la carte correspondant au voyage, ou bien à d’autres voyages connexes, ainsi que de revenir directement au sommaire. Le lien présent à l’intérieur du titre de chaque voyage (en haut de la page correspondante) permet d’accéder directement à la principale carte décrivant ce voyage. 

Trois types de liens différents existent sur ce site :

  • les liens internes : en rouge avant leur visite et en orange après. Ils conduisent vers la description d’un autre voyage ou bien vers une carte ;
  • les liens externes : en marron avant leur consultation et en rose après. Ils conduisent vers un site externe (le site externe est en général ouvert à l’intérieur des cadres de mon propre site : j’enfreins l’éthique du Web mais permets un retour plus facile à mon site par la suite) ;
  • enfin les notes ou apartés : il faut les lire en baladant la souris au-dessus. Ces apartés contiennent parfois des images supplémentaires. Pour maintenir la fenêtre en place il faut enfoncer la touche MAJUSCULE (si cela ne fonctionne pas, il faut d’abord cliquer une fois dans le texte, à côté du lien). On peut aussi cliquer sur le lien.

Mentionnons également les liens Google Earth (qui fonctionnent à condition que le logiciel soit installé sur l’ordinateur, ce qui est possible Linux comme sous Windows mais le fonctionnement est aléatoire dans le premier cas). Cliquer sur une icône GE provoque alors l’ouverture de Google Earth et son pointage sur la région du voyage concerné.

La page d’accueil du site ainsi que certaines pages de titre affichent une imagette de présentation à la place du menu. Le contenu de cette imagette change dynamiquement lorsqu’on promène la souris au-dessus d’un lien conduisant à tel ou tel voyage (une image du voyage concerné est alors affichée).

Les images

Les photos sont au format jpeg en résolution 1000 × 650 environ. La qualité de compression a été volontairement abaissée afin de réduire le temps de chargement. Les photos doivent être visualisées à la taille où elles sont présentées (500 × 337 en général) et non être imprimées ou agrandies. La plupart de ces photos proviennent de diapositives scannées, il existe aussi quelques photos papier ainsi que des photos numériques pour les voyages les plus récents (à partir de 2005). Beaucoup des plus anciennes photos nécessitent une retouche informatique (Photoshop), une opération longue et fastidieuse que j’effectue progressivement.

Exemple d'image (le K2 le 15 août 1999)

En passant la souris au-dessus d’une image, on provoque en général l’apparition d’un bref commentaire (info-bulle) qui renseigne sur le lieu de la photo ainsi que sa date. Pour certains voyages également, cliquer sur la photo provoque son affichage en plein écran et en haute résolution.

Il existe également sur ce site un certain nombre de photos « cachées », c’est-à-dire qui ne sont visibles que lors d’une lecture approfondie des pages. Elles me permettent de montrer davantage d’images, tout en évitant un déséquilibre du nombre d’images par rapport à la quantité de texte. Ces images cachées peuvent apparaître de plusieurs manières :

  • soit à l’intérieur d’une note ;
  • soit en remplacement d’une image existante : il faut alors cliquer sur les onglets au-dessus de l’image pour visualiser les images suivantes.
La laguna Sigrenacocha (Pérou), le 9 août 1996

Lorsqu’on modifie l’image affichée de cette façon, une légende s’affiche également qui est celle de la nouvelle photo. La légende de l’ancienne photo, lorsqu’elle est différente, est visible en plaçant la souris sur le bord de l’image. Il peut également arriver que deux ou trois photos différentes puissent remplacer une seule et même photo, selon la zone de l’image dans laquelle on promène la souris.

Les cartes

Le système de cartes du site permet de visualiser l’ensemble des voyages effectués, avec la plupart des étapes, des lieux visités et des randonnées. Plusieurs passerelles existent en outre entre les cartes et les images concernées.

On accède à la carte du monde à partir de la page d’accueil (rubrique « carte des voyages »). On peut ensuite plonger de proche en proche vers des cartes plus détaillées, soit en cliquant sur la carte dans la zone concernée, soit en choisissant une nouvelle carte dans le menu à gauche. Pour revenir vers une carte moins détaillée, il faut passer par le menu. Il est également possible de changer de carte en cliquant sur le bord d’une carte, dans la région où un itinéraire en sort.

Il existe dorénavant trois format de cartes dans ce site :

  • les cartes Jpeg (images), amenées progressivement à disparaître…
  • les cartes vectorielles au format SVG ou flash ;
  • et enfin les cartes Google Maps ou Géoportail, réservées aux voyages très récents pour lesquels je dispose de données GPS.
Cartes historiques au format Jpeg

Les cartes historiques sont interactives : en promenant la souris sur certaines zones proches de l’itinéraire, ou sur certains lieux caractéristiques, on provoque l’affichage d’une imagette reprenant l’une des photos de la description (texte du voyage). La vignette est accompagnée d’une légende. Si l’on clique à cet endroit, on bascule vers le texte correspondant. Toutefois, il n’y a rien sur la carte qui indique a priori à quel endroit vont se situer les vignettes.

Exemple de carte

Légende des cartes :

Exemple de légende

Les cartes SVG ou flash

Il s’agit de cartes vectorielles, que j’ai d’abord développées en Flash puis en SVG, ce dernier format présentant l’avantage d’être ouvert et pérenne, mais l’inconvénient d’être plus lent et pas systématiquement compatible (encore que les choses se soient bien améliorées avec les dernières version des navigateurs, y compris chez Microsoft). Par défaut le site affiche les cartes en SVG sauf avec le navigateur Internet Explorer. On peut changer de format par un lien adéquat en bas des cartes. Attention, l’utilisation du format Flash nécessite l’installation d’un greffon sur son navigateur.

Le principe de fonctionnement des cartes vectorielles est analogue à celui des cartes Jpeg, à une différence près : les imagettes apparaissent d’emblée sur la carte. Il est par contre possible de les faire disparaître en décochant la case « Afficher les vignettes » située sur le menu à gauche de la carte.

Les cartes Google Maps, Géoportail ou autres

Cette dernière méthode est très certainement la moins originale… Je me contente d’utiliser les fonds de cartes de Google Maps (qui sont quand même vraiment bien faits, même dans les coins perdus). Par contre l’utilisation de ces cartes n’est pas très souple, notamment je ne peux pas faire apparaître des vignettes automatiquement. Je dois donc me contenter de marqueurs Google. En cliquant sur les marqueurs on fait apparaître la vignette correspondante, puis en cliquant dans la vignette on accède au texte.

J’utilise principalement ces cartes pour les voyages pendant lesquels j’ai enregistré un tracé GPS : il s’agit des voyages les plus récents, à partir de l’ascension du Kilimandjaro (2008). En effet il est possible d’intégrer quasi-automatiquement ces tracés GPS dans les fonds de carte Google.

Plus récemment j’ai étendu ce type de cartographie à des voyages plus anciens. J’ai pour ce faire reconstitué mes itinéraires à partir de données diverses : cartes topopographiques détaillées, ou alors Google Earth en tentant de restituer les emplacements de mes photos.

Dans le cas de randonnées en France, j’offre la possibilité d’utiliser le fond de carte de l’IGN qui me paraît supérieur à celui de Google, tout chauvinisme mis à part… Il en est de même de la Suisse et des cartes Swisstopo.

À titre purement indicatif, deux autres fonds de carte sont également proposés pour l’ensemble des cartes : les données Openstreetmap (qui comme leur nom l’indique sont libres de droits) et les cartes (russes) Yandex maps (Яндекс Карты) : plus à titre de curiosité et aussi pour ne pas dépendre exclusivement des Américains).

Enfin, un dernier type de fond est disponible pour quelques cartes du site : il s’agit de cartes papier scannées et étalonnées, sur lesquelles je superpose les tracés GPS. De telles cartes sont accessibles via le boution Divers lorsque celui-ci est actif.

Les données et profils des randonnées

Pour certaines randonnées pour lesquelles les données sont disponibles, et dans le cadre des cartes Google Maps et autres, il est possible d'afficher, sous la carte, des données relatives à la randonnée : distance, dénivelé, altitudes, ainsi que le profil d’altitude. Ces données sont accessibles en cliquant sur le bouton Détails (version ordinateur) ou automatiquement sous la carte (version mobile). Lorsque la carte affiche plusieurs randonnées, un menu déroulant permet de changer de randonnée. À terme, il est prévu qu’une animation javascript sur le profil permette de visaliser le point de la carte auquel on se rapporte.

Remarque : les données d’altitude sont en général disponibles pour des randonnées dont le tracé a été obtenu par GPS. Pour éviter des arfefact de mesure, notamment au niveau des pauses si le GPS est laissé en marche, une moyenne est dans ce cas effectuée sur les points dont la distance géographique est inférieur à dix mètres. Cette moyenne concerne la distance géographique ainsi que l’altitude (Je pense que les sites qui proposent des fonctionnalités similaires, tel visugpx.com, procèdent eux aussi à une certaine adaptation des données brutes).

Je propose également des données et des profils lorsque le tracé a été reconstitué (i.e. randonnées antérieures à 2008). Dans ce cas, j’ai effectué un appel aux serveurs de Google Maps pour reconstituer les altitudes en fonction des coordonnées géographiques. Lorsque l’on compare de telles altitudes fournies par Google avec les données brutes mesurées au GPS, on constate que l’écart reste raisonnable pour des randonnées effectuées en montagne ou en plaine. Par contre, des soucis sont parfois observés pour les randonnées en bord de mer ou pour les randonnées urbaines. Dans ces cas de figure, j’affiche simultanément les deux profils d’altitude (mesuré en bleu et reconstitué via Google en marron) et je déduis les données numériques du profil reconstitué.

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